On a tous des envies personnelles ou professionnelles.
On imagine le résultat… on regarde où on en est… et le soufflé retombe. On a un poids sur les épaules, une voix qui assène « non mais n’importe quoi ! Fais déjà ce que tu dois faire avant d’imaginer des trucs. Ça, c’est la sécurité ! ».
Cette voix, c’est notre cerveau qui nous veut du bien. Oui, il nous casse les ailes parce qu’il nous aime. Etrange ?
Pas tant que ça. Il est programmé pour assurer notre survie. Autrefois c’était face à la nature, aujourd’hui c’est face aux risques de changement qui pourraient nous mettre en difficultés. On est passé de la survie physique à la survie psychique et sociale.
Alors c’est fichu ? On ne pourra jamais changer ?!?
BIEN SÛR QUE SI !… mais il ne faut pas vouloir brûler les étapes. Il faut rassurer votre cerveau. (Je vous assure, vous pouvez parler à votre cerveau… sans passer pour un fou.)
Il a peur si le changement est radical mais, face à un petit changement, il va être rassuré et vous donner l’énergie et les moyens de le réaliser. Une fois acquis, c’est devenu pour lui la normalité. Alors vous lui en présentez un autre… puis un autre…
Ex : vous ne voulez plus répondre au téléphone n’importe quand pour vous concentrer sur vos dossiers. « Ahlala ! Tu vas perdre tes clients ! » Mais non…
Définissez une journée par semaine ou deux demies journées où vous ne répondez pas tout de suite avec un message disant quand les gens peuvent rappeler. Profitez de ce temps pour avancer sur les dossiers (ce qui fait du bien). Vous serez ensuite mieux disponible pour répondre.
Puis, 2 ou 3 semaines plus tard, définissez deux jours par semaine ou deux demies journées, etc … en fonction du résultat que vous voulez atteindre.
Vous êtes le maître de votre changement et votre cerveau vous accompagnera si vous y croyez et que vous le rassurez.
Alors, vous commencez demain ?
13 février 2024 – Ce texte n’a pas été écrit par une IA – Merci de respecter le droit d’auteur.